Une problématique que de nombreuses personnes rencontrent, que ce soit occasionnellement ou régulièrement : la difficulté à s’endormir. Le petit train du dodo qui n’arrive jamais 🙁
On sait que le manque de sommeil a des effets catastrophiques sur la santé à long terme. Sans parler de l’effet négatif sur les résultats de vos durs efforts pendant vos entraînements !
Néanmoins, il n’est pas question de choisir la solution somnifères, qui est selon moi une fausse solution, puisque l’on en devient ensuite dépendant.
1) LE MAGNÉSIUM
Un manque de magnésium est souvent à l’origine de problèmes de sommeil. C’est un minéral indispensable au bon fonctionnement de notre cerveau.
Nous perdons du magnésium par la transpiration, le besoin est donc accru chez les sportifs.
Si vous avez une alimentation riche en magnésium (poissons, oléagineux, légumineuses, légumes verts à feuilles…), vous ne devriez pas être inquiétée.
Dans le cas contraire, une supplémentation sous forme orale de 200 mg de magnésium élémental (tous les soirs idéalement, à cause de son léger effet sédatif) devrait être envisagée.
J’ai vu de nombreuses personnes résoudre leur problème de sommeil en leur conseillant simplement d’intégrer du ZMA à leur routine du soir ! (Le ZMA est une formule de Zinc-Magnésium-Vitamine B6, ayant également du Zinc dans ma supplémentation, ce format est plus économique et pratique pour moi).
2) LA MÉLATONINE
C’est une hormone que notre corps produit naturellement, et dont les niveaux sont plus élevés lorsque nous allons nous coucher.
Si vous avez du mal à vous endormir, alors vous avez votre sauveur !
Son gros avantage est de ne provoquer aucune notion de dépendance. Moi même j’ai toujours une boîte à portée de main, pour les soirs où le petit train tarde trop ou encore quand je dois me lever exceptionnellement plus tôt le lendemain (et donc me coucher tôt).
Le dosage est compris entre 0,5 et 5 mg. À prendre en 1 fois 15 à 30 min avant l’endormissement souhaité.
La petite subtilité c’est qu’un plus grand dosage ne signifie pas plus d’efficacité. Chaque personne a un dosage efficace, le plus petit possible. Pour ma part c’est 2 mg. À vous de tester avec un petit dosage, et d’augmenter progressivement si nécessaire (tout en ne dépassant jamais les 5 mg).
3) L’HUILE ESSENTIELLE DE LAVANDE
Même s’il est assez difficile de réaliser des études en aromathérapie, celle qui a montré les meilleurs résultats est l’huile essentielle de lavande.
Elle aide à se détendre, se relaxer et à limiter les pensées intrusives (j’imagine que je ne suis pas la seule à avoir fait sa liste de tâches dans sa tête au moment de dormir ?).
Il existe en pharmacie des préparation d’huile essentielle de lavande en capsules, à prendre 30 à 45 min avant le coucher (se reporter à la notice, je n’ai pas encore personnellement essayé, je n’ai donc pas de marque à vous conseiller).
Sinon, il y a aussi la solution de diffusion dans la chambre, pendant au moins 30 min avant le coucher. J’aime beaucoup cette solution, car je trouve agréable et efficace d’associer une odeur au moment du coucher.
Vous pouvez acheter l’huile essentielle de lavande vraie en pharmacie, sur aroma-zone.com ou en boutique Aroma Zone pour les chanceuses comme moi qui ont une boutique dans leur ville 🙂